Dis patron, après quoi tu cours ?

Facebook
Twitter
LinkedIn

Ça commence par une petite tension

Ça commence toujours par une petite tension. Qu’elle soit interne (« je suis trop fatigué, ce n’est pas normal, je ne suis plus aligné avec mes valeurs. »), interpersonnelle (« je n’arrive vraiment pas à travailler avec lui, il m’insupporte au quotidien malgré son expertise »), intra-organisation (« le commerce et le marketing, c’est une guerre traditionnelle, aucune coopération, c’est pénible »), extra-entreprise (« Il faut en finir avec ce client, son incompétence est sans limite et je ne le supporte plus ») ou marché (« m****, un nouveau concurrent, comment on va faire? »).

Une petite tension, comme une crampe, comme un petit caillou dans la chaussure. Elle n’empêche pas de marcher, mais elle gêne la progression. On ne s’en aperçoit pas au départ, jusqu’à ce que la douleur soit trop grande et que l’on commence à boîter.

Ce petit groupe de 4 entrepreneurs, cinq personnes avec moi, s’est bâti et stabilisé au fil du temps, jusqu’à installer une telle confiance dans le travail que nous pouvons aborder en profondeur des sujets très divers, touchant aux tensions inhérentes au métier de dirigeant :

Comment retrouver un équilibre pro/perso malgré mon engagement dans mon entreprise ?
Comment continuer à développer mon entreprise sans y perdre mon âme ma joie de vivre et mon plaisir à faire mon métier ?

Comment arrêter de faire « à la place de »?

Comment déléguer efficacement, sans perdre la qualité de travail promise au client ?
Comment obtenir l’engagement de mes collaborateurs ?

Comment ne plus être au four et au moulin, ne plus me disperser ?

Nos échanges et nos discussions peuvent aller très loin, mais, finalement, nous revenons souvent au même point de départ : Patron, après quoi tu cours ?

Athlètes du business

Car vous, les dirigeants, êtes des champions de la course d’endurance. Toujours sur la brèche, un instant commercial, celui d’après manager, puis superviseur technique des dossiers qui sortent de votre entreprise. Et ce n’est là qu’une petite partie des tâches que vous prenez en charge.

Pas beaucoup de place pour le reste. L’entreprise envahit tous les espaces, le pro comme le perso. La vie de famille, la vie sociale, le sommeil et les week-end de détente en sont souvent les principales victimes.

Comme disait un de mes autres clients, être dirigeant, c’est être avant tout un athlète du business

Or, un athlète a conscience que ses outils de travail sont le corps et l’esprit. C’est pour cela qu’il en prend soin en s’octroyant des plages de repos physiques et mentales régulières, qu’il en vérifie régulièrement les niveaux, et qu’il entretient la machine par un bon exercice et une bonne respiration, entre autres.

Un athlète, c’est aussi celui qui ne perd pas de vue son objectif. Il tient dans la durée, parce qu’il sait après quoi il court. Il a constamment en tête le sens de son action. Il est clair avec son intention.

Et c’est autour de celle-ci que tout le reste vient se positionner.

Dans les faits, ce n’est pas toujours facile, hein ? (Entre nous soit dit, c’est pour cela que j’ai ouvert cet espace de supervision : comme un relais, une halte régulière, au milieu de la course).

Vous souhaitez bénéficier de cet accompagnement ?

Si vous souhaitez être coaché individuellement, prenez dès à présent rendez-vous avec moi.

Mycelium

© Tous droits réservés. Mycelium Consulting 2020

A propos

Offres